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Affichage des articles associés au libellé nucléaire

A croquer ! La collection Petite pomme remet un peu de sciences dans notre monde

              La collection  " Les Petites Pommes du Savoir"  des éditions Le Pommier s'enrichit de plusieurs livres courts et précis : Des réponses brèves, claires et sérieuses aux questions que vous vous posez sur le monde. Allons-nous manquer d'eau ? Pourquoi s'inquiéter ? Loin d'être une ressource renouvelable, l'eau serait-elle une matière première comme les autres ? Comment utilisons-nous cette ressource ? Sommes-nous égaux devant elle ? Que penser des prévisions catastrophistes ? Les "crises de l'eau" sont-elles évitables ?  Commander Allons-nous manquer d'eau ? Vazken Andréassian, hydrologue, travaille au Cemagref (l'Institut de Recherche pour l'ingénierie de l'agriculture et de l'environnement). Jean Margat, hydrogéologue, est consultant auprès des Nations Unies (UNESCO et FAO)à dans le domaine des ressources en eau. La radio-activité est-elle vraiment dangereuse ? Comment ne pas être angoi

Uranium : la France otage de ses choix nucléaires en Afrique ?

La France est-elle otage de l’uranium, combustible nucléaire ? C'est la question que pose aujourd'hui le MAN, Mouvement pour une Alternative Non violente. Deux événements récents dans l’actualité (la libération des otages, et l’assassinat de deux journalistes) mettent en lumière les relations que la France entretient avec le Mali et le Niger.   " Les 4 otages français Pierre Legrand, Marc Feret, Thierry Dol et Daniel Larribe , enlevés au Niger le 16 septembre 2010 par AQMI ont été libérés. A ce premier événement le MAN (Mouvement pour une Alternative Non-violente) ne peut que se réjouir. Deux journalistes de Radio France internationale (RFI), Ghislaine Dupont et Claude Verlon , ont été assassinés dans le nord du Mali, samedi 2 novembre, par un groupe d'hommes armés qui venait de les enlever, alors qu'ils effectuaient un reportage à Kidal. A ce deuxième événement le MAN ne peut que s’attrister et compatir à la douleur de leurs familles. Cependant au de

Allonger la durée de vie des centrales nucléaires, c'est fermer la porte à la transition énergétique

              La centrale du Bugey  près de Lyon - Selon le Journal du Dimanche, le gouvernement s’apprêterait à acter l'allongement de la durée de vie des centrales nucléaires françaises jusqu’à 50 ans. Fermant les yeux sur les risques liés au vieillissement des installations, risques que l'ASN n'a même pas encore étudiés, le gouvernement ferait ainsi un pari périlleux et fermerait la porte pour longtemps aux vraies solutions durables de la transition énergétique. Prolonger à 50 ans la durée d'amortissement des centrales nucléaires, ce qui peut passer pour un exercice comptable sans autres conséquences que financières, reviendrait en fait à valider implicitement que la  durée de fonctionnement des centrales pourrait être portée à 50 ans. Alors que plusieurs ont déjà atteint 30 ans, durée de fonctionnement pour laquelle elles avaient été conçues, certaines parties des réacteurs (cuves, enceintes de confinement, câbles inaccessibles…) vieillissent et ne

Accident sur le site nucléaire de Marcoule, les chiffres de la radioactivité s'emballent

Chiffres erronés, voire mensongers, sur la radioactivité des déchets, la Commission d'information indépendante (Criirad) s'indigne de la désinformation sur ce qui a été présenté seulement comme un "incident grave" à Marcoule le mois dernier. (lire l'article de LYon-Actualités "Accident sur le site nucléaire de Marcoule"  L'Autorité de Sûreté Nucléaire vient de faire savoir que la charge du four était 476 fois supérieure à celle qui avait été annoncée le 12 septembre ! Dans le domaine du nucléaire, les dossiers changent mais les constats restent les mêmes : sous-évaluation des risques du côté de l’exploitant et manque d’esprit critique, voire complaisance, du côté des experts officiels. Le 23 septembre dernier, la CRIIRAD interpellait les autorités en charge de la radioprotection et de la sûreté nucléaire, Autorités de Sûreté Nucléaire et Ministères de la santé, de l’industrie et de l’écologie. Elle dénonçait le maintien du secret sur les éléments

Accident nucléaire : l'OMS teste ses plans d' urgence

L'Organisation mondiale de la Santé (OMS), dont le siège est à Genève, vient de prendre part à un test des plans de réaction à une situation d’urgence radiologique par la simulation d’un accident dans une centrale nucléaire. Cet exercice s' est fait en coordination avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et en coopération avec 74 Etats Membres de l’AIEA et neuf organisations internationales, afin de tester les préparatifs nationaux et internationaux pour répondre à une situation d’urgence nucléaire ou radiologique. Au cours de l’opération qui a pris pour "cible" une centrale mexicaine (Laguna Verde), l’OMS a testé en particulier son Centre stratégique d'opérations sanitaires et son réseau pour la préparation et l'assistance médicales en cas de situation d'urgence radiologique (REMPAN), outils essentiels des activités de l’OMS pour la détection, l’évaluation des risques pour la santé publique et l’intervention sous l’égide de deux c